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EXPOSITION / CONCERT
20 mars à 20h30
Claude Astier / Dominique Mac’Avoy / Marie-Hélène O’Neill
Un trio explosif !
Exposition jusqu'au 30 avril 2015
Ils ont partagé des tranches de vie, des verres de vin, des bons plats durant des décennies. Et quand ces amis partagent aussi leur art, ça donne envie d’entrer dans la ronde.
C’est ce qu’ils ont fait en 1999 pour l’album « Le bal du malheur » et en 2010 pour l’album « Délires et vicissitudes de l’amour »
Claude compose, écrit, joue et chante, Dominique chante et Marie illustre avec ses pinceaux ces histoires d’un couple déjanté qui règle ses comptes en chansons jubilatoires.
TARIF UNIQUE
10 €
APRÈS LE SPECTACLE
Un plat latino est offert par le théâtre après la pièce, partagé entre artistes et public dans une ambiance conviviale et chaleureuse.
FERENCE
12 mars 2015 à 19h
LA RÉPUBLIQUE ET LA LAICITÉ
Pour fêter nos 25 ans à Ivry, nous avons décidé d’ouvrir au Théâtre Aleph des agoras autour de figures indisciplinées de l’humanisme contemporain, pour nous aider à ne jamais renoncer à l’utopie d’un monde fraternel – En toute simplicité !
Par les temps qui courent, préférant ne pas utiliser le mot "con", nous vous invitons à une "Férence" sur le thème "La République - La Laïcité ".
Avec la participation de:
Alain Touraine, sociologue
Adel Hakim, metteur en scène - directeur du Théâtre des Quartiers d'Ivry
Jacques Lederer, écrivain
Emmanuel Brassat, philosophe
EXPOSITION PHILIPPE BEZARD
du 28 février au 19 mars 2015 au théâtre Aleph
Vernissage le samedi 28 février 2015 à 19h en prélude à la pièce La Brume à 20h30.
25 ans à Ivry déjà. Ou seulement.
On se pratique depuis si longtemps avec le Théâtre Aleph que c’est la famille au-delà de la famille. La familia California.
En ces lieux, c’est notre mémoire qui est en partage. Cette exposition est une pierre de plus à l’édifice.
Continuons le combat.
Philippe Bezard
nager à contre courant
février 2015
édito
Nager à contre-courant, c’est l’unique manière pour l’être humain d’admirer le paysage", disait mon grand-père.
J’ai testé à plusieurs reprises… Avec un effort extraordinaire, je parvenais à avancer de quelques mètres. Epuisé, je me laissais porter par le courant qui me ramenait au point de départ. Je recommençais et je revenais toujours au même endroit.
J’ai passé ma vie à tenter de comprendre le dicton de mon grand-père. J’avais beau nager à contre-courant, je ne voyais pas le paysage, me consacrant à ma seule mission : celle de gagner cette lutte engagée contre le courant.
Ce n’est qu’en sortant de l’eau que je me consolais de ma déroute. Je m’asseyais près de la rivière et en me séchant au soleil, j’admirais le paysage : les arbres en mouvement ; les animaux paissant dans les prairies ; un train au loin… Quelle merveille de le voir traverser le pont de fer pour franchir la rivière.
Le théâtre Aleph a toujours nagé à contre-courant, nous n’avons jamais navigué que dans cette direction. C’est peut-être une utopie démesurée, surtout dans ce monde de guerre et de terrorisme religieux où les Dieux de l’Olympe règlent leurs comptes avec nous.
Le public qui vient nous voir fait aussi partie de ces énergumènes qui nagent à contre-courant. Ce sont des amis et des amis d’amis qui se donnent le temps de partager le pain et le vin après le spectacle dans un seul but : admirer le paysage dans les yeux de leurs frères.
Cette année nous fêtons les 25 ans de notre théâtre à Ivry sur Seine, en nous souvenant de Pierre Gosnat, notre Maire, un humaniste et un grand homme de culture, qui nous a ouvert les portes de cette ville magnifique.
Un abrazo.
Oscar Castro
Directeur du Théâtre Aleph
Nadar contra la corriente es la única manera que tiene el hombre de admirar el paisaje, decía mi abuelo.
Lo hice varias veces y con un enorme esfuerzo lograba avanzar unos metros, cansado me detenía en el agua y la corriente me dejaba otra vez en el punto de partida, volvía a intentarlo y otra vez obtenía el mismo resultado.
He pasado la vida tratando de comprender el dicho del abuelo. Nadando contra la corriente no veía el paisaje, consagrado a mi única misión, la de vencer en esta lucha contra la corriente.
Solo fuera del agua el paisaje me consolaba de esta derrota. Me sentaba al lado del río, y secándome al sol, admiraba el paisaje, los árboles en movimiento, los animales comiendo en los pastizales, un tren que pasaba a lo lejos, que maravilla era verlo pasar entre los hierros cuando atravesaba el puente.
El Teatro Aleph ha nadado siempre contra la corriente, no hemos hecho otra cosa que navegar en esa dirección. Talvez esta historia es una enorme utopía, sobre todo en este mundo en guerra y de terrorismo religioso en la que los Dioses del Olimpo arreglan sus cuentas con nosotros.
Nuestro publico, que viene a vernos también nadan a contra corriente son amigos de amigos que se dan el tiempo para compartir pan y vino después del espectáculo con el único fin: de admirar el paisaje.
Este año festejamos los 25 años de nuestro teatro a Ivry/seina, recordando a Pierre Gosnat nuestro alcalde que nos abrió las puertas de esta magnifica ciudad.
Un abrazo.
Oscar Castro
Directeur du Théâtre Aleph
LE THEATRE ALEPH FETE SES 25 ANS A IVRY
2015
Voici déjà 25 ans que notre théâtre s’est installé à Ivry sur Seine.
Le nom d'Ivry viendrait de l'Ivraie, une graminée qui poussait sur les coteaux pierreux de la commune. Ivraie dérive du latin populaire ebriacus (ivre), en relation avec les propriétés enivrantes de cette plante qui devait être arrachée à la main pour ne pas gâter la récolte - "séparer le bon grain de l’ivraie".
Il est bien connu que la “mauvaise herbe” ne meurt jamais. En plus, elle attire les autres mauvaises herbes... Le théâtre Aleph fut coupé de ses racines par la dictature et lancé loin de sa terre natale. Il a traversé les cieux et les océans pour s’installer près de l’ivraie, où il a pu grandir et se multiplier.
Quarante années ont passé depuis ce jour qui a marqué les chemins de mon âme. Et une partie de cette histoire s’est écrite ici, avec vous, avec tous ceux qui ont dit “présent” à tout moment, ceux qui n’ont jamais abandonné notre utopie, et qui l’ont fait croître, transformant le “théâtre Aleph” dans l'unique théâtre latino-américain installé sur cette terre de façon permanente, faisant ainsi partie de l’histoire du théâtre français.
Notre lieu était une fabrique de cartons, abandonnée. Nous l’avons transformée pour en faire notre maison… Un laboratoire, un espace de création et de formation dans lequel nous présentons nos pièces de théâtre… Un lieu de convivialité où se sont connus et mariés des amis, qui par la suite construisirent leur maison, leurs rêves, eurent des enfants, et plantèrent des arbres. Ici ont été célébrés anniversaires, noces et baptêmes, mais aussi pleurs, peines et douleurs. Nous avons baptisé la salle de spectacle du théâtre « Robert Doisneau », en l’honneur de ce photographe mondialement connu qui fut président du Théâtre Aleph avant sa mort.
Et puis si cette belle histoire existe, nous le devons à cet inoubliable ami et camarade, Pierre Gosnat, le Maire d’Ivry-sur-Seine, qui grâce à sa grande générosité pour la cause chilienne, nous a ouvert la porte de la ville.
Oscar Castro
Directeur du Théâtre Aleph
VOEUX DE LUTTE POUR 2015
Comme Martin Luther King, j’avais fait un rêve moi aussi.
Quand j’étais en prison au Chili. C’était de venir en France. Sur cette terre de résistance, un verger d’oiseaux et d’individus, une humanité simple et naïve. Un refuge pour les hommes persécutés.
Je voulais m’installer à Ivry, une commune ouvrière, que nous aimons. Une commune…. Celle des hommes comme nous, celle de la terre fertile comme la nôtre. Et sur cette terre de France, cette terre de mes rêves qui est aujourd’hui ma terre vient de se commettre un acte de terreur contre Charlie Hebdo où est mort notre ami Tignous, mon frère, toujours généreux avec le théâtre Aleph.
Les pas de cette belle multitude rassemblée peuvent fouler mille ans le lieu de ce massacre, ils n’effaceront pas le sang de ceux qui y tombèrent.
Mille nuits s’abattront sur le monde, avec leurs ailes noires, sans que puisse venir le jour attendu par tant d’entre nous à travers le monde. L’ultime jour de la souffrance. Un jour de justice. Et vous, mes frères tombés en silence, vous êtes avec nous en attente de ce jour. Ce jour immense.
Aujourd’hui, nous sommes comme des soldats de la liberté. Nous avons, devant nos yeux embrumés, une feuille de route d’une terrible difficulté. Nous avons devant nous de longs mois de combat et de souffrance.
Notre but c’est la victoire, la victoire à tout prix, la victoire en dépit de la terreur, parce que sans victoire, il n’y aura pas de survie.
Merci Pablo Neruda, merci Winston Churchill et merci Martin Luther King, pour vos mots qui illuminent notre route, comme des étoiles scintillantes qui nous disent le chemin vers où se trouve la victoire. Qui nous donnent confiance et assurance dans la réussite de cette victoire, malgré les épreuves.
Oui Pablo moi aussi : « Je veux vivre dans un monde où les êtres seront seulement humains, sans autres titres que celui-ci, sans être obsédés par une règle, par un mot, par une étiquette. Je veux que l’immense majorité, la seule majorité : tout le monde puisse parler, lire, écouter, s’épanouir. »
Venez, avançons ensemble, mains dans la main, fort de notre unité ! Notre but c’est la victoire.
Tous mes meilleurs vœux de lutte et d’espoir pour cette année 2015.
Oscar Castro
Chronique sur "Le mystère de la chambre jaune"
15 décembre 2014
Froggy Delight - une chronique de Martine Piazzon
http://www.froggydelight.com/article-15608.html
Comédie policière d'après l'œuvre éponyme de Gaston Leroux, mise en scène de Oscar Castro, avec la troupe du Théâtre Aleph et les Latin’Actors.
Transposer sur scène "Le mystère de la chambre jaune", le roman policier de Gaston Leroux qui commence par un chapitre intitulé "Où l'on commence à ne pas comprendre", repose sur une énigme en chambre close et se déroule de manière si déroutante qu'elle a suscité l'admiration de Surréalistes, n'est pas chose aisée.
Mais cela n'est pas pour décourager la troupe du Théâtre d'Aleph et ses Latin'Actors amateurs qui invitent le public à découvrir les vrais-faux, dessous de l'affaire ou ses faux-vrais selon l'angle d'attaque, dans une adaptation libre et "latino" de son directeur, l'auteur et metteur en scène d'origine chilienne, Oscar Castro.
Celui-ci, avec son habituelle exubérance iconoclaste retranche des personnages et en ajoute d'autres de son cru, compile avec le deuxième opus des aventures de Rouletabille "Le parfum de la dame en noir", customise le dénouement et insère quelques allusions à des événements contemporains
Bref, il concocte la partition à sa sauce, façon carbonada chilienne que le public est convié à partager en fin de représentation, et la place sous le signe de la mascarade qu'est la vie, chacun dissimulant ses secrets, à l'instar du tableau "L'intrigue" de James Ensor retenu comme visuel pour l'affiche.
Tout commence avec des images d'archives du Paris de la Belle Epoque et l'effervescence qui règne au siège de la radio où travaille le fameux reporter Rouletabille (Sylvie Miqueu) et ses confrères, une belle bande de pieds nickelés composée de Rose Pompon (Emilie Portugais), La Souris (Emeline Ferreira) et Lamartine (Roberto Meza).
En effet, ils sont sur le pont en raison, d'une part, de la réception officielle organisée au Palais de l'Elysée en l'honneur du célèbre savant le professeur Stangerson (Moïse Pinto qui semble sorti d'un film des Marx Brothers avec ses faux airs de Groucho), et d'autre part, de la "résurrection " d'un criminel aux multiples identités.
Par ailleurs, Rouletabille et Larsan, l'inquiétant chef de la sûreté (Thibaud Sobel) vont mener l'enquête sur l'agression commise sur la tendre Mathilde (Laurence Moreau), la fille du professeur dont le comportement paraît bien étrange qui fait suite à la rupture de ses fiançailles avec Rober Danzac interprété par Oscar Castro.
La discrétion s'impose pour ne pas déflorer les originalités de cette partition enjouée, qui joyeusement les codes du mélodrame, de la tragi-comédie et de la satire.
Catherine Max-Martineau, Claudine Chaffard et Dominique Vetillard complètent la distribution de la représentation de ce soir-là car toute la troupe joue en alternance dans cette aimable fantaisie dispensée avec générosité dans la tradition d'un vrai théâtre populaire qui doit être soutenu.
Théâtre et lutte contre les discriminations
12 et 13 décembre 2014
Action soutenue par l'ACSE, la DDCSJ du 94, le CG du 94 et la Région IdF. En collaboration avec Atout Majeur
SYNOPSIS
Depuis 2006, chaque année le Théâtre Aleph réalise avec des femmes en parcours d’insertion chez Atout Majeur l'action "Théâtre et lutte contre les discriminations" tout à fait originale et efficace, qui soigne l’humain, la dignité et la confiance. La parole, le jeu, le partage et la générosité en sont les bases.
Oscar Castro écrit des scènes sur les thèmes à traiter, avec les mots des participants. Les scènes sont illustrées de quelques chansons et chorégraphies travaillées durant l’action par Sylvie Miqueu. Un fil conducteur relie l’ensemble et donne harmonie et cohérence au spectacle joué par les femmes.
Cette année 2014, le Théâtre Aleph a le plaisir de vous inviter à une représentation de la nouvelle pièce créée dans le cadre de cette même action "Théâtre et lutte contre les discriminations" avec un groupe de vingt et une femmes et deux hommes en parcours d'insertion chez Atout Majeur.
DATES
Vendredi 12 Décembre à 14h30 - Théâtre Aleph (30, rue Christophe Colomb - Ivry sur Seine)
Samedi 13 Décembre à 15h00 - Espace Robespierre (Ivry sur Seine)
PARTENAIRES
Cette action est soutenue par l'ACSE, la DDCSJ du 94, le CG du 94 et la Région IdF.
En collaboration avec Atout Majeur.
Conférence de presse
13 octobre 2014
Santiago du Chili au Cine Arte Alameda
Oscar Castro portera au cinéma son histoire dans le camps de concentration de Ritoque
Óscar Castro llegará al cine con su historia en campo de concentración Ritoque
La cinta cuenta la experiencia del dramaturgo y actor del Teatro Aleph durante su detención entre 1974 y 1976.
El director del film y compañero de encierro de Castro, Patricio Paniagua busca "aportar una mirada nueva y desdramatizada" de la historia.
Publicado: Martes 14 de octubre de 2014 | Autor: Sandra Zeballos, Cooperativa.cl
"Ritoque, ni tristes, ni vencidos" es el nombre de la película que retratará la vida dentro del campo de concentración de la quinta región, en plena dictadura militar.
Una mirada distinta a las de otras cintas que rescatan esta parte de la historia de Chile, puessu director, Patricio Paniagua centrará el relato en el particular rol que ejerció el reconocido actor chileno radicado en Francia, y creador del teatro Aleph, Óscar Castro.
El autoprocalmado "alcalde" del "único territorio libre de Chile" se empeñó en combatir el dolor y las atrocidades de la dictadura a través del humor. Una forma de sobreviviencia que hoy recuerda en conversación con Cooperativa.
"Yo caigo preso y una semana más tarde toman a mi madre, la hacen desaparecer y yo no sé nunca más de ella. Y yo me dije: "bueno, ¿y cómo puedo pelear contra esta enorme historia que me causa tanto dolor?" recordó Óscar "Cuervo" Castro.
La risa como medida de sobrevivencia
Y es que la realidad de quienes "ya venían de vuelta", tras pasar por las torturas en distintos centros de detención, era una sola. "Era una cosa para mí permanente, el dolor era diario, cotidiano" agregó el actor.
Sin embargo, el espíritu fue más fuerte. "Entonces dije yo "voy a hacer reir al campo, será mi única venganza por la mamá. Que su muerte, su sufrimiento no sea inútil. Ella que era muy católica. Va a estar contenta la Julietita si yo hago reir a todo el campo de concentración" reflexionó entonces.
Y en ese camino no estuvo solo. El director de la cinta, Patricio Paniagua, fue compañero de encierro de Castro. Y según recuerda hoy, el proyecto de esta película se gestó ya hace muchos años, siempre pensando en "aportar una mirada nueva y desdramatizada" de la historia.
Una visión que se reflejará a través de la particular forma que algunos chilenos encontraron para sobrevivir al horror y que él piensa plasmar en la cinta. "Va a romper esquemas por la mirada. Esta es una mirada más esperanzadora, una mirada en que nos sentíamos que estábamos vivos y por tanto el estar vivos, significaba haber ganado. Porque efectivamente incluso al interior de la DINA se daba el humor negro" recordó Paniagua.
"Y la sobreviviencia al interior de los campos, no solamente en Ritoque sino que en todos los campos de concentración, se constituyó fundamentalmente de mucho humor negro, de reirse del drama que se estaba viviendo y de ir viendo cómo ibas tú corriendo la valla de los milicos" agregó el director.
Rescatar el estilo de vida que instalaron en pleno campo de concentración, con obras de teatro, eventos deportivos y concursos poéticos, son algunos de los objetivos del film que tendrá en el rol de Óscar Castro precisamente a su hijo, también actor, Cosme Castro.
Los gestores de "Ritoque, ni tristes, ni vencidos" proyectan rodar la cinta en abril de 2015, y en elenco que también tendrá al propio "Cuervo" Castro, destacan figuras comoRoberto Farías, Jaime Mac Manus, Alejandro Trejo y Adella Secall, entre otros.
festival mil veces metropolitano
del 20 de agosto 2014 al 13 de septiembre
festival de talleres de teatro con el Teatro Aleph, Oscar Castro y Sylvie Miqueu.
Oscar Castro y el Teatro Aleph presentan en 4 comunas de la Chimba :
" LA FILMACION DEL EXILIADO MATELUNA"
En el marco del festival Mil Veces Metropolitano. El objetivo central de esta propuesta es la realizacion de un taller de teatro con una duracion de tres dias que culmina con el montaje de una pieza breve, bajo la direccion del Teatro Aleph : Oscar Castro es a cargo dela dramaturgia y puesta en escena, con el apoyo de la coreografa francesa Sylvie Miqueu y de Gabriela Olguin como asistente de Direccion. Este taller/montaje tiene la particularidad de incluir como protagonistas a los habitantes de la comuna, y cualquier persona cono sin experiencia teatral a partir de los 14 años, puede ser parte de esta aventura teatral. La convocatoria consistia en un llamado abierto a toda la comunidad, para que se inscriban y constituyan un grupos de trabajo entre 15 y 20 personas. Tomando como base estructural la obra de teatro El Exiliado Mateluna escrita por Oscar Castro en los primeros años de su exilio en Paris, se desarrolla un trabajo de creacion en conjunto con los participantes utilizando las experiencias, las vivencias y los sueños de cada uno. La combinacion de todo este material humano y artistico culmina con la representacion de una obra teatral que lleva como nombre:La Filmacion del Exiliado Mateluna. Fiel al estilo del Teatro Aleph, esta creacion adopta el formato de una comedia con canciones y bailes, llena de ternura, poesia y humor. En sitesis, una gran experiencia humana, colectiva y solidaria que despierte lo mejor de sus protagonistas y sirva de ejemplo e incentivo para el resto de los habitantes de la comuna.
FECHAS DE LOS TALLERES DE TEATRO
20.21.22 de Agosto en UTALCA en Santiago
28.29.30 de Agosto en La Reina
1.4.6 de Septiembre en Independencia
2.3.5 de Septiembre en Providencia / inscripcion fundacioncultural@providencia.cl / Avenida nueva providencia 1995 / 18h.22h.
11.12.13 de Septiembre en Talagante
CALENDARIO DE LAS FUNCIONES
Sábado 30 de Agosto - La Reina - Casona Nemesio Antunez , Villa La Reina - 18hrs
Viernes 5 de Septiembre - Providencia - Avenida Nueva Providencia 1995 - 20:30 hrs
Sábado 6 de Septiembre - Independencia - Aula Magna Facultad de Medicina Universidad de Chile, Av.Independencia 1027 - 19 hrs
Sábado 13 de Septiembre - Talagante - Corporación Cultural de Talagante, Bernardo O`Higgins 3201 (Costado Parque Tegualda) - 19 hrs
informaciones: 990692056